Création d’entreprise

Votre création d'entreprise en 6 étapes

01

Démarrez la création de votre entreprise

en nous communiquant les informations principales sur votre projet.
02

Choisissez le statut juridique

adapté à votre projet pendant le rendez-vous conseil avec votre juriste Esf.
03

Oubliez les démarches administratives.

Envoyez-vous vos documents. Votre juriste Esf s’occupe de tout.
04

Déposez votre capital social

auprès des partenaires de Esf ou de la banque de votre choix.
05

Recevez votre justificatif d’immatriculation INPI

sous 48h après la signature de votre dossier.
06

Ça y est, vous êtes votre propre boss !

C’est le moment de démarrer votre activité.

Création d’entreprise :

Les bonnes questions à se poser avant de vous lancer

Selon l’INSEE, une entreprise peut être définie comme une entité économique dotée d’une autonomie juridique, dont la principale mission est de fabriquer des biens ou de fournir des services sur le marché.

En d’autres termes, une entreprise voit le jour dès lors que des individus mettent en commun leurs compétences et leur énergie, réunissent des ressources matérielles et financières dans le but de proposer un produit ou un service à une clientèle.

Contrairement à une entreprise de type entreprise individuelle ou micro-entreprise, une société est une entité légale séparée de ses dirigeants ou actionnaires, formant ainsi une personne morale distincte dotée de son propre patrimoine, nom et adresse légale. Le représentant légal agit au nom de la société et son statut social est déterminé par la forme juridique de la société.

Pour faire court, les étapes de la création d’une entreprise incluent la recherche d’une idée, la définition de votre projet, l’élaboration d’un business plan, la recherche de financements, le choix de la forme juridique et du régime fiscal, ainsi que l’accomplissement des formalités de création, que vous pouvez réaliser seul ou avec l’aide de professionnels comme Esf.

Les formalités vont surtout dépendre de la forme juridique que vous choisissez.

Le capital social doit respecter les montants minimaux suivants :

1 euro pour les SARL, SAS, SASU, SNC et EURL ;
37 000 euros pour les SA ;
18 500 euros pour les coopératives sous forme de SA.
Lorsque vous déterminez le montant de votre capital social, il faut choisir un montant approprié à votre activité.

Ce choix est crucial, car le capital social sert de garantie pour vos créanciers. Vos partenaires, comme votre banquier ou vos fournisseurs, seront attentifs à ce montant, qui peut varier en fonction des besoins de votre entreprise.

En général, si vous prévoyez d’obtenir un prêt bancaire ou si vos fournisseurs cherchent une garantie financière, un capital de 7 000 € est recommandé. Cependant, si votre entreprise n’a pas besoin d’un capital élevé, 1 000 € peuvent suffire pour couvrir les frais de démarrage.

La création d’une société en France comprend plusieurs étapes. D’abord, vous devez trouver une idée d’activité répondant à un besoin du marché.

Ensuite, définissez en détail votre projet, évaluez sa faisabilité, et établissez un business plan complet pour convaincre les investisseurs ou les banques de financer votre entreprise. Vous devrez ensuite trouver des sources de financement, que ce soit par autofinancement, des prêts, des investisseurs, des aides ou des programmes gouvernementaux.

Ensuite vient le moment de choisir la forme juridique qui correspond le mieux à votre activité, et de déterminer le régime fiscal approprié. Ces étapes sont déterminantes. Esfvous accompagne pour faire les bons choix et vous conseille pour les formalités administratives, comme l’enregistrement, la rédaction des statuts.

Vous pouvez ensuite ouvrir votre compte bancaire professionnel. Chacune de ces étapes demande une approche soignée pour maximiser vos chances de succès.

Pour trouver une idée de création d’entreprise, il n’est pas nécessaire de trouver quelque chose de révolutionnaire. Une idée simple répondant à des besoins peut suffire.

Vous pouvez soit chercher un domaine pour entreprendre, soit évaluer si votre idée est exploitable. Pour trouver des idées, observez votre environnement et cherchez à combler des besoins non satisfaits.

Adaptez également des biens ou services existants à de nouveaux marchés. Restez informé des tendances en lisant la presse spécialisée, en regardant des émissions économiques, et en suivant l’évolution de la législation. Vous pouvez également vous inspirer d’idées de startups étrangères.

Enfin, stimulez votre créativité en organisant des séances de brainstorming pour générer davantage d’idées.

Le choix de la forme juridique d’entreprise influe sur le statut social. Les entrepreneurs individuels (EI) sont TNS, tandis que les sociétés commerciales, comme la SASU, permettent de rester salarié. Cumuler un contrat de travail avec un mandat social est compliqué et parfois interdit par la loi, mais cela offre une protection, notamment pour l’assurance chômage. La SASU présente des avantages :

protection du patrimoine privé, absence de charges sociales sans rémunération par bulletin de salaire, récupération de la TVA, impact limité sur l’imposition personnelle, et possibilité de conserver la trésorerie, ce qui la rend attrayante pour les salariés qui souhaitent développer une activité parallèle.

Pour choisir la date de clôture des comptes annuels vous devez tenir compte de plusieurs facteurs, notamment la charge de travail supplémentaire pour le dirigeant.

On vous recommande d’éviter de clôturer les comptes en périodes déjà très chargées, comme la fin de l’année pour certains commerçants.

De plus, la présentation du bilan comptable peut être influencée par le niveau des stocks, ce qui peut avoir un impact sur l’obtention de crédit. En début d’activité, il est courant d’envisager un premier exercice légèrement prolongé pour minimiser le risque de pertes de capitaux propres, notamment en optant pour un exercice de 18 mois. Enfin, pour les entreprises saisonnières, choisir un mois calme pour la préparation des comptes peut être judicieux.

Lors de la création de votre entreprise, vous pouvez décider d’obtenir des conseils pour être accompagné tout au long des formalités de création. Vous pouvez trouver de l’aide auprès d’un expert-comptable comme Dougs, ou de divers organismes selon votre type d’activité, tels que les CCI, les Chambres des métiers et de l’artisanat, l’URSSAF, la Chambre d’agriculture, etc.

Il existe aussi des structures adaptées aux demandeurs d’emploi, aux entrepreneures, et aux personnes en situation de handicap. Obtenir des conseils spécialisés et personnalisé est essentiel pour bien démarrer.

Chez Dougs, nous offrons une approche complète, alliant technologie et expertise humaine, pour vous accompagner efficacement tout au long du processus de création et de gestion de votre entreprise.

Après avoir embauché votre premier salarié, en tant qu’employeur, vous êtes tenu d’adhérer à une caisse de retraite complémentaire Agirc-Arrco.

Cette caisse a pour rôle de collecter les cotisations des employeurs et des salariés, de gérer les comptes de points des employés, et de verser les pensions de retraite aux retraités. Le rattachement de votre entreprise à une caisse de retraite complémentaire dépend des règles de compétence définies par l’Agirc-Arrco.

Les taux de cotisation sont également établis par l’Agirc-Arrco, mais ils peuvent varier en fonction de la convention collective applicable à votre entreprise.

Vous n’avez aucune démarche à entreprendre, car l’adhésion se fait automatiquement lors de la première déclaration sociale nominative (DSN). Vous recevrez un certificat d’adhésion précisant les coordonnées de votre caisse de retraite complémentaire et les taux de cotisation Agirc-Arrco qui s’appliquent à votre entreprise.

Pour domicilier une entreprise individuelle ou une société, vous devez choisir une adresse pour votre siège social.

Vous avez plusieurs options pour domicilier votre entreprise, dont la possibilité de le faire à votre domicile, si vous le souhaitez. Domicilier votre entreprise à votre domicile présente des avantages financiers et fiscaux, notamment si vous êtes propriétaire du logement.

Si vous êtes locataire, vous devrez tenir compte des contraintes éventuelles liées à votre bail.

Si vous disposez d’un local professionnel, il est logique de domicilier votre entreprise à cette adresse, ce qui facilite la réception du courrier et de vos clients. Les coûts de location peuvent être déductibles si vous êtes sous le régime réel d’imposition.

Vous pouvez aussi recourir aux services de sociétés de domiciliation, qui fournissent des adresses professionnelles pour recevoir le courrier.

Pôle emploi offre diverses aides pour la création d’entreprise. Vous pouvez bénéficier de l’accompagnement d’un conseiller, accéder à des prêts via des partenaires externes tels que Initiative France, Réseau entreprendre, et Adie.

Il existe également des formations liées à la création d’entreprise, comme la prestation Activ’Créa, ou des formations annexes financées principalement par le CPF avec un soutien possible de Pôle emploi en cas de fonds insuffisants. France Travail propose des ateliers-conseil pour vous aider à clarifier les étapes nécessaires pour votre projet.

De plus, il y a des aides financières spécifiques pour les demandeurs d’emploi, telles que l’ARE et l’ARCE (aide à la reprise ou création d’entreprise), ainsi que des avantages pour les allocataires du RSA, comme la prime d’activité, l’ACRE et l’APRE.

Pour lancer votre entreprise avec succès, certaines compétences peuvent vous être d’une grande utilité durant les différentes étapes de la création :

  • Trouver une idée : recherche, évaluation, sélection, prise de risques ;
  • Définir le modèle économique : diagnostic, stratégie, étude de marché, présentation du projet ;
  • Établir la stratégie marketing : création de l’offre, distribution, communication, fidélisation ;
  • Gestion financière : prévision budgétaire, prise de décisions ;
  • Constituer votre équipe : écoute, recrutement, travail d’équipe ;
  • Créer un plan d’affaires : organisation, rédaction, recherche de financement, présentation.

Un business plan compte généralement 20 à 30 pages et comporte trois sections : présentation du projet et du marché, expérience personnelle et équipe, prévisions financières.

Le business plan doit couvrir les points suivants : executive summary, équipe, offre, marché, business model, concurrence, propriété intellectuelle, société, plan d’action et prévisions financières.

Vous pouvez le rédiger vous-même (économique mais risqué), commencé seul puis demander de l’aide à des professionnels comme Esfou engager un professionnel spécialisé pour le faire à votre place.

Réaliser une étude de marché, tout comme élaborer un business plan, n’est pas une étape incontournable, mais elle s’avère extrêmement utile. Selon le secteur que vous ciblez, il faut analyser :

  • Votre public potentiel et le volume de la demande ;
  • Les comportements d’achat de vos futurs clients ;
  • La concurrence existante, etc.

Pour ces raisons, mieux vaut consacrer du temps à une étude du marché pour répondre aux questions suivantes :

  • Comment attirer les clients vers votre entreprise ?
  • Votre produit ou service répond-il à un véritable besoin ?
  • Comment vous démarquer de la concurrence ?

Un business plan compte généralement 20 à 30 pages et comporte trois sections : présentation du projet et du marché, expérience personnelle et équipe, prévisions financières.

Le business plan doit couvrir les points suivants : executive summary, équipe, offre, marché, business model, concurrence, propriété intellectuelle, société, plan d’action et prévisions financières. Vous pouvez le rédiger vous-même (économique mais risqué), commencé seul puis demander de l’aide à des professionnels comme Esfou engager un professionnel spécialisé pour le faire à votre place.

Depuis janvier 2023, l’immatriculation se fait en ligne via le guichet unique des formalités des entreprises.

Les étapes pour immatriculer une société en ligne incluent la rédaction des statuts, la constitution du capital social, l’ouverture d’un compte bancaire, la réalisation des formalités de création en ligne, la publication d’une annonce légale dans un journal du même département, et le dépôt d’une demande d’immatriculation complète.

Notre équipe de juristes en droit des sociétés vous accompagne pour l’ensemble de ces démarches.

Pour créer une micro-entreprise (auto-entreprise), vous devez tout d’abord effectuer une déclaration de début d’activité. Cette démarche est simple :

elle consiste à soumettre une déclaration en ligne.

Depuis le 1er janvier 2023, toutes les entreprises sont tenues de réaliser leurs formalités à travers le Guichet unique, géré par l’INPI. Ce système inclut l’enregistrement au Registre national des entreprises (RNE), qui regroupe les registres précédemment existants.

Mais attention, avant de vous lancer en micro-entreprise, êtes vous certain que c’est LA forme juridique qui vous correspond ? En cas de doute, vous pouvez réaliser directement une simulation sur l’un de nos outils.

Certaines des procédures prévues par le Guichet unique de formalités des entreprises sont déjà accessibles depuis le 30 juin 2023, tandis que d’autres sont en cours de mise en place. Cependant, une procédure de secours est disponible pour résoudre d’éventuels problèmes liés au Guichet unique de formalités des entreprises.

Depuis le 1er janvier 2023, le guichet unique a remplacé les CFE (centres de formalités des entreprises) pour toutes les procédures administratives concernant votre activité professionnelle.

Il est impératif de solliciter votre immatriculation auprès du guichet unique dans les 8 jours qui suivent le commencement de votre activité.

Pour votre projet de création, le choix du statut juridique est fondamental. Vous avez deux options :

créer une entreprise individuelle en tant que travailleur indépendant ou constituer une société distincte pour votre activité. D’autres approches, telles que le portage salarial ou l’incubation d’entreprise pour tester votre idée, peuvent être envisagées dans certains cas. La décision de ne pas créer immédiatement une société peut être judicieuse pour simplifier les formalités administratives et réduire les coûts.

Cependant, la création d’une société s’impose lorsque plusieurs entrepreneurs sont impliqués ou lorsque l’adhésion au régime général de la sécurité sociale est nécessaire.

En résumé, le choix entre une entreprise individuelle et une société dépend des caractéristiques du projet et des besoins des entrepreneurs, tout en tenant compte des implications juridiques et financières.

Créer une entreprise engendre des coûts variables en fonction de l’activité et de la forme juridique choisie.

Les micro-entreprises sont exemptes de frais de création, tandis que les SAS, SARL, EURL, etc., impliquent des dépenses liées aux formalités, aux apports en capital et à l’équipement. Les frais d’immatriculation sont différents selon la forme juridique , et les coûts de rédaction des statuts varient si vous le faites en toute autonomie ou à l’aide de professionnels.

La publicité au journal d’annonce légale est variable également et d’autres coûts comme la protection des marques, les besoins en matériel ou encore la domiciliation vont venir s’ajouter à vos frais de démarrage. Les frais de création peuvent être remboursés en les inscrivant dans les comptes courants d’associés ou d’exploitants. Mieux vaut bien vous entourer pour éviter des dépenses imprévues lors de la création d’entreprise.

Avec Dougs, bénéficiez du pack création dès 150€ !

La réalisation d’un prévisionnel financier est indispensable pour évaluer la rentabilité d’un projet, déterminer les besoins en financement et évaluer la capacité de l’entreprise à rembourser d’éventuels emprunts.

Ce document, généralement établi sur une période de trois ans, comprend plusieurs composantes, dont le compte de résultat prévisionnel, le bilan prévisionnel, le plan de trésorerie, le plan de financement, ainsi que le calcul d’indicateurs financiers tels que le besoin en fonds de roulement et la capacité d’autofinancement.

Les établissements bancaires requièrent ce type de document pour évaluer la viabilité du projet et la pertinence d’un financement.

Pour choisir la date de clôture des comptes annuels vous devez tenir compte de plusieurs facteurs, notamment la charge de travail supplémentaire pour le dirigeant.

On vous recommande d’éviter de clôturer les comptes en périodes déjà très chargées, comme la fin de l’année pour certains commerçants.

De plus, la présentation du bilan comptable peut être influencée par le niveau des stocks, ce qui peut avoir un impact sur l’obtention de crédit. En début d’activité, il est courant d’envisager un premier exercice légèrement prolongé pour minimiser le risque de pertes de capitaux propres, notamment en optant pour un exercice de 18 mois.

Enfin, pour les entreprises saisonnières, choisir un mois calme pour la préparation des comptes peut être judicieux.

Pour choisir la bonne forme juridique, posez-vous trois questions essentielles. La première : êtes-vous seul ou avec des associés ? En solo, optez pour SASU, EURL, ou micro-entreprise. Avec des associés, choisissez la SAS ou la SARL (Société à responsabilité limitée).

La deuxième : voulez-vous limiter votre responsabilité ? Optez pour SAS, SARL, SASU, ou EURL. Enfin, la troisième : quel régime fiscal préférez-vous ? Votre choix dépendra de l’entreprise individuelle ou de la société que vous créez, et il vaut mieux consulter un expert de la fiscalité pour choisir la structure qui sera le plus adaptée à votre situation.

Pour réaliser un dépôt de capital social, les associés versent leur apport en numéraire à la banque, par virement, chèque ou espèces. La banque bloque ces fonds jusqu’à l’obtention de l’extrait Kbis.

Les documents requis incluent la demande de dépôt, les projets de statuts, le règlement du capital, les pièces d’identité, le justificatif de domicile, et la liste des souscripteurs pour les SAS ou SASU.

Le dépôt peut être fait en ligne pour simplifier les démarches. Le montant du capital doit être soigneusement déterminé, généralement au moins 7 000 € pour garantir aux créanciers. Il n’y a pas de montant minimum, sauf pour les SA (37 000 €).

Le dépôt en numéraire est l’argent déposé en banque au moment de la création, bloqué jusqu’à l’obtention du Kbis, correspondant à la libération du capital.

La création d’entreprise, qu’elle soit en solo ou en collaboration, comporte des avantages et inconvénients.

En entreprise à plusieurs associés, vous pouvez répartir les tâches et les responsabilités, réunir davantage de capitaux, profiter des compétences et réseaux des associés, et prendre des décisions stratégiques collectivement. Cependant, cela peut compliquer la prise de décision, entraîner des conflits entre associés, et exiger des assemblées générales pour décider des questions majeures.

Pour pallier ces problèmes, il est conseillé de mettre en place un pacte d’associés.

La création d’une startup implique plusieurs étapes clés : avoir une idée innovante en accord avec le marché et les compétences des fondateurs, élaborer un business plan complet qui inclut des informations sur l’idée, le produit, le marché, les concurrents, la stratégie, le statut juridique, les finances, et les intervenants clés. Ensuite vous devrez présenter des données financières détaillées, notamment un compte de résultat prévisionnel, un bilan prévisionnel, un plan de financement, un tableau de trésorerie, et divers indicateurs financiers.

Vient alors la recherche de financement auprès de sources comme les business angels, les emprunts bancaires, les aides à l’innovation, ou le financement participatif. Puis vous pourrez finaliser la création de la startup, ce qui comprend la rédaction des statuts, leur enregistrement, la publication d’une annonce légale, et l’immatriculation de l’entreprise auprès du registre du commerce et des sociétés.

Les statuts d’une société sont un contrat entre les associés, ils remplissent deux rôles essentiels. Ils établissent les principaux traits de la société, tels que sa forme, son nom, son siège social, son capital et organisent le fonctionnement interne de l’entreprise, y compris les organes de direction.

Les statuts, qui peuvent contenir une trentaine de pages, sont structurés en articles, chacun définissant une règle à suivre pour les associés et les tiers. Il est essentiel de respecter ces règles, sauf si les statuts sont modifiés. Concernant leur rédaction, les associés peuvent les écrire eux-mêmes.

Cela présente un risque car ce document représente la carte d’identité de votre entreprise. Le mieux est de se faire conseiller par des professionnels comme les juristes de Dougs, des avocats, des notaires ou des experts-comptables, ou utiliser des plateformes juridiques. Les services des chambres de commerce sont également disponibles, mais sont généralement moins adaptés à vos besoins en comparaison des services professionnels.

En France, il existe une variété d’aides à la création d’entreprise. Pour les demandeurs d’emploi, France Travail (Pôle Emploi) propose l’ARE et l’ARCE. Les allocataires du RSA peuvent recevoir la prime d’activité, l’ACRE ou encore l’APRE.

Les salariés peuvent choisir le congé sabbatique ou le congé pour la création d’entreprise. Les entrepreneurs ont accès à des crédits d’impôt, comme le CII et le CIR, et à des statuts spéciaux comme JEI et JEU. Il existe aussi des aides locales, des prêts bancaires, prêts inter-entreprises, cigales, microcrédits, et prêts d’honneur.

Des aides spécifiques sont également destinées aux femmes entrepreneures, aux habitants de quartiers sensibles, aux personnes en situation de handicap et aux étudiants-entrepreneurs.

Les femmes entrepreneures en France bénéficient d’aides financières, dont la Garantie ÉGALITÉ Femmes, le Prêt d’Honneur Initiative France, les CLEFE, et l’AGEPI.

Elles ont accès à des incubateurs comme Willa, des associations d’accompagnement comme Action’elles et des plateformes comme Femmes des Territoires. Des événements et concours soutiennent l’entrepreneuriat féminin, ou des dispositifs comme Wom’energy et les Plans d’Action Régionaux offrent des prêts d’honneur et un accompagnement spécifique. L’objectif de ces aides à la création d’entreprise dédiée aux femmes est de promouvoir l’entrepreneuriat féminin, renforcer la parité, et faciliter l’accès à la création d’entreprise pour toutes les femmes en France.

Pour vous former à la gestion d’entreprise, diverses options sont disponibles, chacune avec ses avantages et inconvénients.

Les livres sont un bon point de départ pour vous initier à un sujet, mais attention leur validité peut être limitée en raison des évolutions régulières dans le monde des affaires. Les livres blancs numériques sont plus concis et plus facilement accessibles mais peuvent présenter le même défaut que les livres s’ils ne sont pas mis à jour régulièrement.

Les formations en présentiel sont traditionnelles, elles exigent de réserver des créneaux dans votre emploi du temps pour participer à des cours avec d’autres entrepreneurs et demandent de prendre des notes. Enfin, les formations en ligne comme la EsfAcademy proposent une variété de sujets et une flexibilité totale pour apprendre à votre rythme, avec un accès sur PC, tablette et smartphone.

Les entrepreneurs en situation de handicap bénéficient d’aides financières et de soutien spécifiques pour créer leur entreprise, notamment l’Aide forfaitaire de l’AGEFIPH, l’Aide à la reconnaissance de la lourdeur du handicap, le Conseil et accompagnement de l’AGEFIPH, ainsi que d’autres aides comme l’aide au déplacement et à la formation.

L’Allocation adulte handicapé (AAH) de la CAF assure un revenu minimal, et l’Accompagnement H’up entrepreneurs offre un soutien personnalisé. D’autres dispositifs peuvent aussi être accessibles en fonction de leur situation via diverses organisations.

Il est conseillé de contacter ces organismes pour obtenir un soutien financier et non financier lors de la création de votre entreprise.

Vous pouvez avoir accès à l’ensemble de nos formations pour 249€ par an et potentiellement bénéficier d’un crédit d’impôt.

Voici comment ça fonctionne, ce dispositif permet aux dirigeants de développer de nouvelles compétences tout en profitant d’un crédit d’impôt formation pour leurs dépenses de formation (jusqu’à 40 heures de formation par an rémunéré au taux horaire du SMIC doublé pour 2023 et 2024€).

La procédure est simple puisque la EsfAcademy remplit les conditions du =Crédit d’Impôt Formation :

  • Suivez une de nos formations ;
  • Obtenez une attestation de formation ;
  • Réclamez votre crédit d’impôt lors de votre déclaration d’impôts ;
  • Si vous n’êtes pas imposable, vous recevrez un remboursement de cette somme

Pour financer votre projet de création d’entreprise, vous pouvez utiliser des sources internes telles que l’épargne personnelle, l’aide des proches, la Love Money, des aides publiques, des associés au capital, le prêt d’honneur, le crédit-bail et des financements bancaires.

Vous pouvez aussi explorer des sources externes comme le crowdfunding, les Business Angels, les sociétés de capital-risque, les garanties de prêts de la BPI, les aides des collectivités locales, et participer à des concours de création d’entreprises.

Le choix de la source de financement dépend de votre situation personnelle et de vos besoins spécifiques.

Pour choisir la banque idéale pour votre création d’entreprise, prenez en considération divers aspects. Commencez par déterminer quels services bancaires seront essentiels pour votre entreprise, puis examinez attentivement les éléments suivants :

  • Les frais de gestion de compte;
  • Les moyens de paiement offerts et leurs frais associés;
  • Les commissions liées aux transactions ;
  • Les commissions multilatérales d’interchange;
  • Les options et les conditions en cas de découvert bancaire;
  • Les conditions de placement.